Beaucoup d’éléments de connaissance ne se retrouveront pas bien entendu sur la trame de base. Il faudra donc les attacher de façon optimale à la trame des base. Pour cela, on crée des liens entre l’élément de connaissance et les étiquettes sur la trame de base dont il est conceptuellement le plus proche.
Par exemple si on dit « L’Afrique ne tire pas le meilleur parti de ses ressources naturelles
», il s’agit d’un élément de connaissance auquel il est difficile d’arriver en navigant sur les étiquettes de la trame de base. Mais on peut l’approcher en suivant le chemin suivant :
Thème : Ressources naturelles
Thème qualifié : Richesse en ressources naturelles
Thème qualifié : Impact de la richesse en ressources naturelles
Thème qualifié situé géographiquement : Impact de la richesse en ressources naturelles en Afrique
On peut alors créer un lien entre l’étiquette «Impact de la richesse en ressources naturelles en Afrique
» qui est sur la trame de base et l’élément de connaissance «L’Afrique ne tire pas le meilleur parti de ses ressources naturelles
» qui n’est pas sur la trame de base.
C’est comme si on avait ajouté un lieu sur la carte et crée un nouveau chemin qui ne correspond ni à une rue, ni à une avenue.
On peut aussi suivre la trame de base et arriver à « exploitation des sources potentielles de croissance en Afrique
» et ensuite faire un lien vers l’idée «L’Afrique ne tire pas le meilleur parti de ses ressources naturelles
».
Une idée qui n’est pas sur la trame de base crée donc de nouveaux chemins et donc de nouveaux liens entre les étiquettes qui sont sur la trame de base. Cela redéfinit donc les notions de proximité conceptuelle sur la carte.
Chaque nouvel élément de connaissance redéfinit les proximités conceptuelles sur la carte.
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